La femme est, on le dit, si tendre combustible Qu’elle pourrait s’enflammer de l’homme peu à peu, Ou de flammes soudaines être le bel enjeu, Si au brasier couvant elle se trouve sensible.
Mais rien ne se produit sans que vienne le vent Sans qu’Éole n’attise une braise, un sarment, Et tout embrasement semblerait improbable
A pimenter sa couche une femme se plaît si l'homme de son souffle attise le couplet sous la braise que diable le feu est endormi suffirait d'une bûche pour enflammer le lit....
Ne dit-on pas "qu'avec un bon tirage le feu prend mieux" ça c'est Basque!