Il est assez long
Enfin tu verras.

L'ame du sons
En hameçon

Mes désirs s'envolent
Dans le vent

Musique
Muse-ique

Partir, voyager
Avec le vent s'envoler
Aller la, ou je n'irai jamais
Partir, rever

Je m'appelle Edward
Se prenant pour Eluard
Je me rend compte comme Truman
Que je suis peut etre un Pascal

Souvent, sous le vent
Dans mon terrier
Je reste, enfermer
Dans mon terrier
De votre comportement
Je suis peureux
Je ne peux
Vous voir, vous écoutez
En pensant
Je suis peuxreux
De notre universalité
Je ne veux accepter
Ma ressemblance en vous

Si loin de tout, si près de moi
Etre passionné
Pour patienter la solitude
Tel est mon quotidien
Enrichir la passion
Sans aucun savoir
Tel est mon illusion

Mais aujourd'hui, j'assume
En mon coeur amertume
De détester l'amertume
A l'instant, je vie très bien
Ma collocation avec elle

Ah mer tu me rend frissonant
( j'explique : ma faute d'ortographe
( comme ici ) a été identifié
Donc en dessous du mot
Il y a eu une vague rouge
Vous avez compris ? )

Comprenez que mes idées
Dansent et changent de partenaire
A chaque changement de musique

Poésie saccader
Poésie en sac a dés
Je lance mes idées
Espérant etre chanceux
Je les lances
Sans y croire vraiment
Puis les stops
Et les éliminent comme destops
"Libéré de ces mauvaises saletés !"

J'analyse ma poésie
Evitant la frénésie,
Et les vagues rouges
Sur la carte des idées
Provoque un tsunami
De rimes novatrice
Bon...
Je crois qu'il est temps
Par ce temps, que je bouge
Pour patient,
Patienter la solitude.

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