Torture maladive empreinte de dégoût
Sous la force des coups où résonnent les os
Le fracas morbide de la lame en écho
Comme un choc éternel entre deux êtres fous
Puis le silence aigu perforé par le mal
Etrangle l’atmosphère en un triste sanglot
D’où s’extirpe une larme aux reflets cérébraux
Sur un corps émacié par le poison létal
Et je m’allonge à tes côtés
Comme un oiseau emprisonné
Dans ce bain de solitude
J’aiguise mes certitudes
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Valli