Chères Oasiennes, Chers Oasiens,
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Autre point de vue,



Dans cet erg, au quotidien éphémère,
Vivait une belle et jeune Berbère,
Qui par devoirs, d’engeance excessifs,
Se soumettait à un dessein rébarbatif.

Cette douce Amazigh n’avait pas de choix,
Car sa vie n’était qu’épreuve de vigueur,
Par habitude du mitan et ses dures lois,
Elle n’osait pas jouter avec le déshonneur.

Aux aurores elle menait le troupeau,
Vers un agréable et désiré point d’eau,
Par mesure, pour elle et les animaux,
En dansant et en jouant du pipeau.

Enfin arrivée à cette oasis de repos,
Assise au pied d’un arbre à propos,
Elle entrait dans ses rêves propices,
Ceux qui mèneraient vers les délices.

Elle se transforma en reine des sables,
Attira le prince sincère et affable,
Pour des moments précis et désirables,
Qu’elle pensait être résolument exorables.

Aux travers des traditions et évolutions,
Cette belle, mêlée dans la satisfaction,
Aura-t-elle ce bien être, vraiment, recherché ?
Devra-t-elle supporter ce destin de pâtre obligée ?

Espérons que l’évolution puisse avoir raison,
À conserver ces belles et hautes traditions,
Pour ceux qui engendre les vrais raisons,
De ce que l’on nomme, singulièrement, passion.


Antoine

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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine

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