L'absence est comme une blessure
Quand souffre et meurt l'âme triste
Quand les sentiments en démesure
Sont enfermés dans ce tunnel sinistre
J'ai peur d'oublier
Tes yeux, ton sourire
J'ai peur de m'enfermer
Dans un dédale de souvenirs
Refouler ce coeur faible et éperdu
Qui espère et qui, soudain, tremble
De revenir indéfiniment vers ce qui fut
De quérir des mots qui nous rassemblent
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Ce que j'ai appris je ne le sais plus, le peu que je sais je l'ai deviné