Et ces cheveux, Ã la roussoyante Aurore .
Et ces cheveux, Ã la roussoyante Aurore .
Épars que sa blonde crinière remplissait.
Et déjà dans le ciel son visage rougissait .
De maint email, qui le matin décore :
Quand je regarde là . Nymphe que j'adore.
Tressant ces cheveux d'or qui blondissait,
Son regard , près de mes yeux m' éblouissait
nos enlacements ,fusionnais nos corps encore.
Alors sa désespérance l'arracha.
Et en pleurant sa face, elle se cacha.
Tant sa beauté mortelle l'ennui :
Puis en poussant maint sanglot en ayant
dans ses soupirs amers engendrer par le vent,
Du désespoir, il tomba sur ces yeux une pluie..
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bernard 138
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