Mais non, ne désespère pas, je t'ai expliqué sur ton blog pourquoi tes poèmes descendent trop vite...
Ce serait en effet dommage de n'écrire "que pour tes tiroirs", vide-les vite pour en transférer le contenu sur Oasis.
J'aime bien celui-ci, qui commence dans le noir et se termine dans l'espoir de te ressaisir...
----------------
Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.