Le même berceau.
L'or mouillant à l'horizon son ton naturel
Se noyait en mes yeux quand la nuit, capote,
Les dernières lueurs du lent temps sensuel
Semant ses belles étoiles en son champ, nabote
Les veilleurs se secouant sous ses belles lumières
Menaient leurs joies de pieds mous aux cœurs des jardins
Où se reposaient les fleurettes des nouvelles ères,
Tous gavés de sentiments sur leurs bons chemins.
Les tourteaux se cherchant dans les illusions
pénétraient souvent rêveurs aux monde nouveaux
Ne pouvant leur offrir que quelques visions...
loin des heurs faisant des nuits, lumineux tombeaux.
Et le jour parant le temps de fils lumineux
Étalait un soleil ardent sous un grand voile
Tiré des profondeurs des océans haineux
Jusqu'à l'heure qui ne peut montrer que son étoile.
Les tueries se ressemblaient toutes au champ
Des changements normaux sous les deux hauts toits
Du temps parrainant les noirceurs des sentiments
Que laissait le jour, blancs, entre les mains du Rois.
Les tueries se ressemblaient toutes au cœur
Des changements qui rendaient à son point le jour
Que gavait le temps cycliquement de blancheur
Et ça, ne changera qu'à la fin des deux coures.
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farid khenat
À Farid khenat
De : Farid khenat (
tatouage_moi@hotmail.fr)
Envoyé : jeu. 24/03/11 18:40
À : Farid khenat (
tatouage_moi@hotmail.fr)
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Je ne suis pas un chauffeur de taxi. et je ne suis pas med et non plus Nicolas et mohamed.
Désolé !