Il sait ...
Atouts si noirs, pieds usés et corps encore nus
Loin des rougeurs du soir s’égarent lentement ;
Les bœufs les doux chats et les petits élus
Ramonent entre les sons de l’étirement,
Les lueurs les laissant sous les étoiles, émus.
L’odeur des cendres fuse du regard éteint
Du chat ramassant dehors les chaleurs du jour ;
L’odeur puante de sa rigueur bat au loin
Les nouveaux tourteaux qui attendaient un secours
En l’aphasie du temps les privant de sa main.
Toutes les étoiles émues de leurs yeux, tombaient
Quand les cieux noircissent sur les flots maraudeurs ;
Toutes les fleurs fanées, sans leurs tenues rampaient
Dans la noirceur les privant de leurs heurs, de peur
Et écœurés, les arbres que les vents vidaient
Demeuraient dans l’opacité du grand malheur.
Ça, en fait bien parler l’ordre nouveau du temps
Qui n’avait pas de quoi pousser son vain essor ;
Vous l’avez de loin poussé vers les lointains rangs
Où il n’avait ni tenue ni chapeau ni corps
Pour gagner dans la tricherie quelques galons.
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Je ne suis pas un chauffeur de taxi. et je ne suis pas med et non plus Nicolas et mohamed.
Désolé !