Flots tumultueux
Certitudes fragiles
Effondrement
Des sentiments
Dans le fracas des vagues
Viscérales abîmes
Nos corps
En chute libre
Nos blessures intimes
Sous le chaos des songes
Nos âmes mises à nues
Nos cœurs qui s’effondrent
Sous le pavé des rues
Sentiments piétinés
Sous l’armure du mépris
Nos chairs sacrifiées
Au brasier de la vie
Tristesse de nos cœurs
Noyés par la douleur
Souffrances exilées
Aux confins de la haine
Un sang noir et sans vie
S’écoule dans mes veines
Ce soir
Le monde est trop petit
Pour y cacher ma peine
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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran