De toutes les fleurs enjouées
Chaque matin qui revenait
Tel un enfant pur, s'étonnait !

Voici maintenant où, quelques tons murissaient
Tel l'heur qu'oubliait l'hiver loin de son haut toit.
Voici maintenant où heur et douceur parfois
Rassérénaient le jour que l'hiver oppressait.

Les lumières dûment en mer
Se titillaient toutes sans revers.

Leur ton émaillait l'eau, de rais
Céruléens quand à l'attrait
Se joignait le soleil orné.

Voici maintenant où, quelques tons murissaient
Tel l'heur qu'oubliait l'hiver loin de son haut toit.
Voici maintenant où heur et douceur parfois
Rassérénaient le jour que l'hiver oppressait.

Il ne voulait que, ivre en l'air
Rester tel un roi se plaire.

Elle ne voulait que boire l'inné
Suc de la vie, la peur dorée
De l'âme me rendant outré.

Voici maintenant où les fleurs se reposaient
Quand les cieux dûment se noircissaient sous leur toit.
Voici maintenant dans la noirceur quelques proies
Qui ne pourraient s'ouvrir loin du roi oppressait.

Et pourtant toutes enjouées
Chaque matin qui revenait
Tel un enfant pur, s'étonnait.


Touffeur.

Bonsoir Touffeur
Trés belle poésie.

Amicalement
Zoheïr

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L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui
étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer
qu'alimentent leurs larmes.
William Shakespeare(Roméo et Juliette).

Merci zoheir .
J'admire bien tes commentaires.

Amicalement. F.k

j'ai rien compris !

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On ne peut grandir que dans les yeux de ceux qui veulent nous voir grands.
Farid khenat