Au réveil d’un matin, à l’esprit embrumé
Quand mon premier regard toise ton corps dénudé
Par la fenêtre ouverte, je salue le soleil
Ses rayons sur tes courbes dessinant des merveilles

Coquines et impudiques, les étoiles disparaissent
Dans leur écrin de nuit me murmurent des promesses
Témoins de nos ébats, de nos pulsions charnelles
Enveloppés dans tes draps à la couleur pastelle

Me serrant contre toi, je relève le défi
De susciter en toi à nouveau la folie
Attisant ton éveil d’un baiser sur ta bouche
Enflammant à nouveau nos deux corps en ta couche

Chaque jour qui renaît, je remercie le ciel
Pour ces matins bénis aux couleurs arc – en – ciel
Quand aux lueurs de l’aube, tu m’offres ce plaisir
De rêver à nouveau à la nuit à venir

Didou