Un singe qu'on appelle homme,
C'est l'histoire d'un feu gigantesque,
qui brûle depuis la nuit des temps,
depuis qu'est venu sur la terre,
un homme sorti de l'océan.
C'est une histoire simiesque,
que l'homme a bien vite oublié,
depuis qu'il marche sur cette planète,
tout c'qui gênait a ravagé.
Il n'y a plus grande misère,
que la terre n'ai jamais porté,
grain de poussière dans l'univers,
qui n'brille que par le sang versé.
Alors ça oui on peut être fier,
assis sur la branche que l'on scie,
mais qu'est ce qu'on fait dans cette galère,
que tous les dieux ont déjà fuit.
C'est un gâchis gigantesque,
qu'un jour on n'pourra plus conter,
il sait qu'il court à sa perte,
mais bien trop fier pour arrêter.
Il n'y a plus grande misère,
que la terre n'ai jamais porté,
grain de poussière dans l'univers,
qui n'brille que par le sang versé.
Il peut bien planquer ses richesses,
aucune chance de les emporter,
debout les damnés de la terre,
le jugement dernier va sonner.
Il sait qu'il court à sa perte,
trop orgueilleux pour arrêter,
alors il pourra être fier,
exterminé jusqu'au dernier.
Il n'y a plus grande misère,
que la terre n'ai jamais porté,
grain de poussière dans l'univers,
qui n'brille que par le sang versé.
:-? Jean-Mi.
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Ce qui trompe l'homme, c'est son interprêtation erronée des apparences. (Giblasse, J-M)
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