Heureuse de ton retour, je savais bien que tu n'attendrais pas les hyrondelles, sourire.
Très beau poème, on y entend le silence, on voit ces grands sapins figés entre terre et ciel, mais on sent que la glace peut fondre et libérer la vie. Tu excelles à restituer des atmosphères, ton regard sur la nature (et la vie)est comme une baguette magique qui réanime et métamorphose tout ce qu'elle touche.
Amitié,
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Jamais je n'irai
Aussi loin que me conduit
Le chemin d'amour
(haïku de Hyacinthe Vulliez-"la joie d'être"-Ed "les Amis de Crespiat")