Tout d'abord, merci ma chère Renée pour ce beau poème.

Je le découvre tardivement, mais, aujourd'hui, ta tristesse a dû s'effacer devant un grand sourire auquel rien ne résiste !

Un torrent de pleurs ne va-t-il pas se jeter dans une rivière, puis, après les premiers tourments, la rivière ne deviendra-t-elle pas un fleuve paisible avant de rejoindre la mer où pourront renaître tous les espoirs ?

Quant aux pleurs de celui qui pourrait avoir fait jaillir les tiens, sache qu'ils ne peuvent être que ceux du regret, du remord , de la repentance !


Palmito