Citation :
isabelle24 a écrit :
les blés encore verts
hier étaient tout fiers
mûrissant tranquillement
dans les grands champs
les blés encore verts
ont connus la guerre
composée de grêlons
sur de larges sillons
avec leurs brins cassés
ils ne pousseront plus
mais des tiges à côté
vont donner deux fois plus
pour consoler leurs frères
et après la saison
ce sera la moisson
rien ne sera plus vert
C’est une paille dorée
qui m’a racontée
l’entraide céréalière
qui existe sur la terre
Subtile poésie qui nous donne à réfléchir sur la précarité du bien-être
, toujours, plus ou moins menacé , tant dans la nature que chez les humains.
Guerres et grêles causent des revages irréversibles.
Merci Geneviève pour ce pertinent poème.
Belle journée
Amitiés
Nat
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.
