(relecture en musique toujours svp-merci)
Dans le silence masqué
d'une ville qui dort
la vie sème des fleurs
sur les pavés mouillés
Dans le ventre des femmes
poussent les fleurs du « mâle »
Mais il n'y a aucun corps
juste un cri qui fait mal
au-dedans, au-dehors
Juste un sourire masqué
sous un silence de mort
Sentiments confinés
au musée des horreurs
La poésie se meurt
au-dedans, au-dehors
mais il n'y a aucun corps
juste une déchirure
dans un triste décors
Sur les murs tagués
de désobéissance
Nos cœurs fissurés
deviennent des brèches
où poussent en silence
les fleurs de l'espérance
Alors réjouissons-nous
car la vie se relève
et nous serons debout
quand l'espoir fleurira
d'un sourire nos lèvres
« Une saison en enfer » Luzdelsol - octobre 2020
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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran