Bonjour Shovnigorath,
Bravo pour ce beau poème qui égrène une vie avec ses joies, ses peines et ses espoirs...."Je médite mes joies, et j’efface mes peines".
"J'ai adoré le premier quatrain:"
"Neuf lunes m’ont veillé à l’ombre d’une étoile,"
"Et naquit mon aurore en astre boréal,"
"Huit décades ont laissé mes empreintes et leurs fruits,"
"Et je survis encore en égrenant la pluie..."
Au regard de "l'architecture" actuelle du poème et de la puissance des images, ça vaudrait le coup de le transformer en sonnet (pas trop de modifs)....Ce n'est évidemment qu'une suggestion
Tel que présenté, il interpelle et touche par la sensibilité des mots choisis; je remarque que tout est en dodécasyllabes sauf le vers 3 qui a 14 pieds.
Merci pour cette agréable lecture
Amitiés de Bruno