Ah ! Cet ego qui vient me souffler à l'oreille
Mille peurs mille enfers dont la vie me menace
N'est-il pas temps ici d'apaiser son tracas
Par un sourire doux et la main sur le cœur...
Car humaine je suis et voguant sur le fleuve
D'émois encor épars en de lointaines traces
Je me donne et m'octroie le pardon de mes failles
Pour célébrer ainsi le vivre qui m'assaille...
Mourir enfin. Lâcher . Dans les bras de la Vie...
Et dans ces mots sauvages où danse une bougie…
magnifique, nous essayons de faire pour le mieux, mais la nuit nous entoure, il nous faut donc nous pardonner nos faiblesses, merci de ce partage fort brillant
yann