Tu fais bien ressentir, Isabelle, l'ennui et cette façon de se noyer dans des errements solitaires.
Et parfois, dans ces cheminements, au croisement d'une rue, on se surprend à être émerveillé
par une scène, une chose, une maison, un ciel mouvant ou la découverte de soi.
Bien à toi,
ortiaz