Bienheureux celui qui peut prendre soin de sa famille en toute simplicité, sans connaître la galère des fins de mois.
Le bonheur est là. Le reste n'est que superflu.
Coluche disait un truc dans ce genre "à la maison toutes les fins de mois étaient difficiles, surtout les trente derniers jours..."
Cette observation n'a jamais été plus vraie qu'aujourd'hui.
Concernant la pertinente intervention de Chris Ray. Je vis dans le Médoc depuis 1983, à Pauillac plus précisément et si je n'ai jamais craché sur un château Margaux, ou sur des Pauillac comme château lafite Rothschild ou château Latour, j'aime autant un bon St-estephe (château Meyney par exemple) ou un délicieux Beychevelle, moins onéreux. J'arrête là car le vin je pourrais en parler pendant des heures...
Pour revenir à votre composition, et à ces "golden boys" qui accumulent des fortunes (qu'ils ne dépenseront jamais même s'ils avaient dix vies) pour la bonne raison qu'ils ne supporteraient pas que cet argent aille dans la poche de ceux qui en ont réellement besoin, je me place sous votre drapeau et partage votre philosophie.
Avec toute mon amitié.
Fil2fer.