J'aime beaucoup ton poème. J'y vois un peu d'ironie mais je l'interprète peut être mal. Les Justes ont en effet même à notre époque un peu trop peur du Jugement Dernier. Il serait bon de se laisser aller et ne pas toujours s'évertuer à faire le bien.
Superbe :
Les Justes, sur la prairie, je voudrais qu’ils gambadent,
Que de leur long sommeil, enfin ils se réveillent,
Et qu’ils dansent, grisés par le champ des cigales,
Sans craindre la caresse ardente du soleil.
De toute façon, si on est heureux, on ne peut que rendre heureux. Alors, on a tout intérêt à rechercher le bonheur.
Amitiés.