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De la porte au plancher proposent leur accueil,
Se meuvent dans le noir remuant sans raisons
Les ramassis de maux ravivant tout le deuil.

J’entends d’étranges voix de lointains horizons ;
Des séquelles, sans doute, images d’un cercueil,
Quand la mort m’a chanté funèbres oraisons.

D'un éternel chagrin, rappels des vieux temps,
L’esprit réplique aux chants pour lesquels j’ai su plaire.
De l’altesse au cœur d’or, Diva de mes printemps,

Mes souvenirs, en vain, ne savent plus se taire.


Hamid.A - 3 Mars 2013.TDR


J'aime tes profondeurs poétiques, merci ami

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Méfiez vous des apparences