Mon cher, mon tendre, si bel amour
C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui
Je prends la plume, écumant le jour
Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours
Les grandes allées, où tout semble vouloir
Me rappeler à votre souvenir, et ce jour
Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait
Offrir ses notes enjouées, mais mon âme
Se glace de perles de pluie et l'archet
Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
(Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume
Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme
Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume
Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes…
(Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve,
De se baigner dans ce magnifique fleuve,
Une fois que la malchance marque une trêve,
Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves
(mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours!
Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd
Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence,
Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence
Faisant de ses journées lugubre sénescence.
(JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà !
Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie
Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir
Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour
J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin!
Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour
Époumone ma vie, me glaçant de chagrin
(Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous
De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace
Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux,
Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure
Mon être est en douleur à connaître les vôtres
Chaque mot du billet devient une morsure.
Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres…
(Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire
Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire
Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire
J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir
(Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope,
Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe,
Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite
Avant que cette horloge, insaisissable débite
(Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir?
Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves?
Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir,
Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve!
(Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense
Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé
Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance
Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver.
(Ghis)
Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame
Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame
De tout l’éloignement de l’être bien aimé
De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes
Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme
Qui rend votre visage si beau, si attirant
De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude
Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude
Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté
Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer…
(Chandy)
Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ;
Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine.
Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine...
Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés.
(Rebelle)
La blancheur aride de l'hiver, bel amour,
Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau,
Ne soulève de rideau à travers le jour
Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.
Bruissants de soleils, et de veilles à brûler,
Et les vagues encore, et le sable qui bouge,
Et le moindre coquillage l'éparpiller,
La spirale se fermer dans une mer rouge...
Ne laissez l'espace voyager dans les airs,
Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel,
Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts
Glissant l'émeraude à l'oreille, entre deux ciels.
(Ema)
Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis,
La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit,
Le coeur serré par ses notes si biens jouer,
Je me surprend a vous rêver vous sublime fée.
(Yogolo)
Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment
Qui freinent mon envie à frémir près de vous…
Je sais la solitude, pour avoir fait serment
De servir à cet ordre qui se dresse entre nous
Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées
Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir,
Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser,
Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir…
(Apparence)
Avec toi j’ai vécu le vrai amour
Maintenant qu’elle vient la mort
Avec toi j’ai vécu la somme de la vie
D’autres songes je n’ai plus envie
(Mihoubi)
Alors Monsieur, sous les sanglots du temps
Je ferai confidence à mon cœur sans floraison
Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang
Ne viendra envenimer notre tendre passion
(Ghis)
Un grand merci à tous les participants pour cette belle chaîne
Tous mes voeux de bonne et heureuse année
Ghis
----------------
https://www.facebook.com/ghislaine.graffard