"Ma rue abandonnée, figée dans sa blancheur
Ressemblait aux dessins de mes livres d’enfant
Qui me faisaient rêver d’ineffables ailleurs,
Moi qui ne connaissais que le soleil brûlant."
Le contraste avec ton pays actuel a dû en être frappant!
Mais c'est vrai que l'on garde toujours la nostalgie de ses racines...
Très beau poème!
Merci, Majanine...
Capucine