J'adore ton poème, Myriam, il est exquis et tout plein d'images métaphoriques comme je les aime :
"Le salon du livre ouvrant ses pages reliées
S’habille du plaisir des mots en récompense."
"Il se range peu fier sur l’étale d’un stand
Arborant un passé en ses lignes vieillies"
"Et ma peur se replie dans la sueur de l’aveu
De frissons hérissés par le froid qui m’effeuille"
"Quelques curieux suivant des yeux ma pyramide
Détaillent l’ouvrage du bout de leur regard"
"Balayant les morceaux de ses rêves en cendres
Déchire dans son cœur nu l’étendard du roi
Puisque l’histoire perd quand l’âme doit se vendre."
Quand l’auditoire étreint mon humble dédicace. WOUAH !
Chantal tendresse
:-x
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Nous ne voyons pas les choses comme elles sont , nous les voyons comme nous sommes. Anaïs Nin
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