Cyraël, Orangelle, Christiane, Pierre-Louis, merci de vos si beaux commentaires qui me touchent. Oui, croire en la vie, même si elle est trop souvent fauchée en son élan et si parfois la force semble manquer devant l'injustice, l'innocence bafouée...
Dans ce poème j'ai évoqué la mort de deux enfants dont l'un aurait été mon oncle s'il n'avait été emporté par la maladie, l'autre un ami d'enfance de ma mère atrocement tué pendant la dernière guerre mondiale. Et il y a encore tous les autres dont les cris me-nous- poursuivent...
Amitiés,
Marie-claude
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Jamais je n'irai
Aussi loin que me conduit
Le chemin d'amour
(haïku de Hyacinthe Vulliez-"la joie d'être"-Ed "les Amis de Crespiat")