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Le ciel bleu gris qui connu des jours de gloire.
Des étoiles sont disparues dans les nuits froides.
*Certaines qui nous manqueront toujours...* Crois-moi
Les sables de la grève sont imbibés d'éternité portant en eux les couches des traces qui les ont foulé.
Et la danse de la vie rejoue sa perpétuelle mélodie.

Bisous à toi

Johanne

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des pas qui vont
d'autres qui viennent
sur le chemin d'oasis
mais tous y laissent trace
de leur passage.

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Au point d'eau d'oasis
Ceux du dehors viennent boire
Avant de repartir vagabonder
Sur le grand livre de la vie. J'ai aimé ta synthése Gavroche


evy

tu as tellement raison mon ami
je te remercie pour ce magnifique poème

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Tu as tellement raison...

Alors espérons que ce ciel gris-bleu redevienne d'un bleu éclatant !

Mais pourquoi se déchirer pour quelques mots, pour quelques cris... cela arrive dans toutes les familles... Les coups de gueule peuvent s'oublier, pas les années passées ensemble. Bon, tout le monde a pété les plombs, ça arrive ! Il ne faut pas que ça tourne au drame, ce n'est pas ça, Oasis ! Les modos, revenez ! Adeline, reprends-les ! Qu'on retrouve notre Oasis où il faisait bon quand la seule ombre était celle des palmiers...

Gavroche, toi qui sèmes des graines de joie, tu ne pourrais pas en jeter quelques unes dans le forum interne ?

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

C'est vrai ça ! dirait la mère Denis, Binjour gavroche ton analyse poétique de ce gros orage est on ne peut mieux juste. Merci pour ce partage.
Mon amitié.

capricorne