j’ ai vu la mer danser
j’ étais le seul témoin
et j’ ai alors chanté ...
je me suis mis à nu
pour attraper la tempête
la saisir à poings fermés
j’ aurais tellement voulu
la toucher,
l’ effrôler...
comme cette orque sauvage
dans l’ absolu d’ aimer
mais,
de vouloir être à la mer
j’ ai vu la mer m’ emporter
et j’ en suis resté acerbe
oh, de cruauté
je l’ ai tant regretté...
puisque appartenant à la mer
les vagues ne m’ ont jamais ramené
sur le rivage où j’ aimais,
orner la dorure de tes pieds
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Il est grand temps de rallumer les étoiles!