Toute ta vie, tu as couru,
Après un minois qui t'a tant plu.
Mais la sève irrigue peu,
Maintenant, ton âge de feu.
Alors , tu triches sur les couleurs.
Alors, tu ralentis les heures,
Mais tes printemps verront l'hiver.
Ils ne pourront plus lui plaire.
Berhe