Jonchée sur un couchis de feuilles,
Poésie goutte en une veine, perfusion.
Irradiant mes membres, puis mon oeil,
Elle anesthésie mes commotions
Mais ne comptez pas, je ne peux m'y fier.
La force du verbe, puis de la phrase,
Me maintient en vie, même sans pied,
Je vis, je vois, je suis à l'extase.
Ma bouteille de prose est finie.
Vite, la sonnette, où... je chavire.
Mon corps s'enraidit, je crie la vie.
Plus d'encre, plus de sang, j'expire.

Berhe

bonjour!!

tu as su tres bien exprimer l'importance d'ecrire et de se sentir bien!!!
une evasion d'un instant qui fais sacrement du bien avant de revenir a la realité!!!

super poeme

coco

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