Comme un cri de tourment !
Touchant un soleil couchant,
Un amour mourant.

Enfermait dans ce cloaque
D’incertitude d’erreur,
Qui font de cette vie !

Un enfer, dans cet abîme.
Cette terre aride ou brûle
Le feu de la damnation.

Pèlerin damné d’avoir tué l’amour,
Mourant d’agonie,
Devant cet être perfide.

Une chute entre terre et ruine,
Anéantissant tous ces rêves,
Pour ne plus pouvoir mettre un terme,

A ces douleurs, dans ce dédale
De folie, de désordre.
Airer dans ces limbes,

Tel un mendiant à la recherche
De la mort, d’une mort,
D’un repos éternel,

Pour assouvir ces peines.
Un semblent de conscience,
De sentiment éploré,

Disparue perdue avec le temps.
D’avoir pensé,
D’avoir cru,

En ces hommes, ces femmes
Qui ont ruiné les valeurs,
Le sens morale de la vie,

Par une politique de corruption.
Anéantissant toutes les choses, le bien fondé,
Ces horizons de libertés,

Au profit de leurs comptes,
De leurs valeurs,
Ils ont ouvert le livre de la géhenne,

Pour ne plus le refermer jusqu’à l’heure
De notre mort
De leurs morts

L.Deléglise