Re Isabelle
Je remonte beaucoup de poèmes car beaucoup passent inaperçu où peu commenté alors qu'ils ont le mérite d'être penché dessus.
Ah cet organe vital et vibrant d'un tout et redouté en une fatalité quand les sentiments prennent le dessus pour nous rendre bien vivant. Quand le manque de contrôle sème le trouble et provoque une totale incompréhension allant jusqu'au détachement, point de non retour. Question de fragilité ou bien de force.
Ces facettes du cœur que tu as cité touche à la gratitude. Bel écrit.