Votre coeur m’était éternellement ouvert
Si j’avouais encor, que votre passion avait l'usage,
De ma fidélité, d’un amour peint sur votre visage,
Je solliciterais encor vos soupirs, et je boirais sur un corps découvert,
Si encor vos plaintes, vos pleurs, et si mes vers
DĂ©voilaient une ardeur vive, dans cette amoureuse rage,
Alors je pourrais fléchir ainsi votre courage,
Vous voire errer amour, dans tout l'univers.
Amour vous seriez seul témoins de ma peine
Mais pouvais-je ! Encor ĂŞtre une preuve certaine
De ma fidélité, vers votre corps qui m’accueille avec loyauté,
Oui ! Et d’aussi loin qu’irons mes vers, une poésie passe,
Amoureuse vous l’étiez toujours, et votre corps qui m’enlace
Hausse la valeur suprême d’une très grande beauté...
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