L'ombre vaporeuse de ton corps, chevelure défaite répandue
Sur ton visage ; ses doucereuses mains
Orner gracieusement sur ta tête ;
Ton rire troublé ; sur la suave évocation de l’Amour.
Dans ton regard ; le souvenir de tes tendres soupirs ;
La délicatesse de tes lèvres cueillie par des baisers et
Semée sur ton corps, tes lèvres, tes yeux, puis redonnées
Encore à ses lèvres, en libérant de nouvelles caresses.
Quoi de plus doucereux que toutes ces choses, si ce n'est que toi
Dont l'absence retire tout son enchantement :
La ferveur éternelle d'un cœur si dévoué ; le battement léger
Et le vol délicat, de tes pensées amoureuses
Alors que voyageant dans le cycle de nos amours, des nuages
Cette aile qui frissonne, au contact de ton coeur .
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