Les enfants sont les premières victimes de la guerre, il en a malheureusement toujours été ainsi.
Votre poème rend tout leur malheur sensible.
Ce discours qui nous est adressé par l'enfant du malheur, cet appel à plus d'humanité, devraient nous réveiller mais malheureusement, toujours la folie des hommes broiera les plus faibles.
Bravo pour cette lecture sensible et touchante,