Il l’emmena, conquise, un beau soir sur son île ;
Elle accueillit le vent, légère comme une aile,
Son corps abandonné aux parfums et aux sons
D’une houle amoureuse échouant sur la dune…

Docile, à la douceur du sable offrant son dos,
Posant ses mains sur sa virile et chaude peau,
L’esprit soudain en paix, comme un passé qu’on laisse,
Vibrante elle a su dire – enfin - OUI à la Vie !

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Marido