En ce temps où la neige tombait doucement
Et que le soleil derrière les arbres se cachait
L’horizon semblait vouloir s’éloigner lentement
Emmenant avec lui la luminosité qui se taisait

Les flocons se posaient sur la terre glacée
Puis la noirceur venait vivement tout assombrir
Les cieux, eux, demeuraient bravement étoilés
Ignorant l’obscurité malsaine qui semblait rire

La neige froide d’une blancheur immaculée
Narguait la chaleur du printemps qui tardait
Elle enneigeait tout sous sa brume sans s’arrêter
Espérant encore régner sur le monde qui frissonnait

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Celui qui trahit sera condamné à être éternellement trahit.

tu as bien raison ma chère, bien triste printemps avec ces 10 centimètres tombés a Québec.

Belle réflexion poétique!!!

C'est de circonstance ! Il ne neige pas, mais quel froid !

Merci pour ce beau texte, si frais, si vrai ! Lchabry

Poète Noirceur,

J'ai aimé voir tomber tes vers enneigés
Sur cette oasis poétique y déposant sa blancheur
dans son sillage montréalais.
Merci pour cette fraîcheur!

Amitié d'une Mouette

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La beauté intérieur ne se fane jamais

j'aime beaucoup ton poème!
une belle description de la neige.
amitiés

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vivre malgré tout c'est ce qui compte!