QUEL SOUCIS
Les élections approchent, quel soucis
soi disant un tournant, un carrefour;
à la télé les écouter jacasser , une féerie
de mal en pis, de pire en pire, comme toujours.
T'amener au nirvana, paradis, des promesses
tes misérables galères, s'en tapent le coquillard;
tu nages dans un océan de bonheur, l'ivresse
on t'embarque pour l'abattoir des chevillards.
Notre chance avoir le Petit Père de L'Europe
il fustige, s'insurge, vocifere, coureur de fortune;
au diapason sa clique aboie, agite la breloque
vouloir conserver leurs mânes, leur pécune.
L'Europe ce fut un beau rêve, encore une illusion
tomber entre les mains de rufians, dégénérescence;
pratiques et règlements abscons, la perversion
une grande malade condamnée, en convalescence.
Assurer baisse d'impôts, de taxes, tout s'améliore
fadas et naïfs les croient, les censés rient jaune;
leur faconde une farce qui te bourre le pylore
qui croirait ces farfelus, même pas un béjaune.
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Point du tout les soucis des choix, casse-tête
tu veux gagner? Dans l'enveloppe plusieurs listes;
comme au loto tu en met cinq, le quintette
triste distraction d'écouter ces fabulistes.
A chaque élections même cinéma, empoignades
qui s'en souci, de moins en moins de monde.
LE TROUBA D' OC
mai 19
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la vie est belle a la retraite que tu en ai 60 ou 70 ou plus si tu es en bonne santé! tamalou? mot a eviter;
les poemes un passe-temps sans aucune pretention dans la beauté de l'aurore avec le soleil qui me fait des levers pharaonique sur la mer...