D estinée, tu as pénétré au creux de ma vie,
E n annihilant en moi toutes formes de mélancolie,
M odus vivendi naissant et gravant en mon sein ton effigie,
A vec intensité, je veux vivre la magie de ces instants de complicité et d'embellie,
I maginer, entendre encore et encore ces douceurs de ta bouche telle une liturgie,
N oblement, libère cette femme inassouvie dans le but qu'elle soit anoblie ....