Sachez aujourd’hui ma tendre dulcinée
Qu’il n’est jamais d’heure pour bien vous dessiner,
Est-ce le doux bonheur dont j’eus rêvassé
En mes tendres nuits qui les ont cadenassés ?
Moi, cet imitateur de votre âme harassée,
Des pires cauchemars encore ressassés,
Sentiments d’errance dans nos regards figés,
Nouveaux… Non, point s’en faut ! Ni ne suis affligé !
Et si les vers faisaient mots prédestinés
Que feriez-vous de moi, l’être indiscipliné ?
Dans la lumière au soir de nos rires déliés,
L’attente de l’histoire et l’empreinte liées
Sont fruit de ma mémoire en l’intime pensée…
Des rêves ? J’en cueille par dix, par milliers !
Plus incertains les uns que les autres massés,
Merveilleux… quand l’accueil est particulier !
Jonathan (Joey) - Mar. 13 Février 2007 -
Après quelques commentaires, je précise un peu plus le mystère de ce poème...
Il suffit de lire les premiers mots de chaque vers à la verticale pour qu'apparaisse une phrase un peu plus..
valentinesque ?8-)
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De petits malentendus peuvent être responsables de grands tourments, tout comme une grande amitié peut l'être de leur disparition
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