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Anatomiquement Anatomiquement ,nous marchons derrière les parois roides de nos faces béantes
De masse,progressant au rebours de toute force anti-gravitationnelle déchue et jamais lâs de nous alvéoler au creux exquis de sa descentionnelle invitation, pour s'en déparer comme jamais de nos défroques impalpables.
Ainsi nous fûmes, âmes soumises aux hauts corps haletants que jamais n'aima dans sa splendeur naguère honnie et déhiscente l'irréfragable nymphe promue aux corps célestes et combien alanguie en delà des jouissances. Et comme eux, exhalée d'outre-vide et d'entre saisons,quand plus rien n'y pare ou n'y fait oraison; au moins que ne s'ébatte de tout son ostensoir, le linteau pourpre et noir exsangue du dernier sang
Or ça ,hommes de si lointaines conations ,que nous en eûmes l'inconnaissance immune Il nous faudra nous expectorer sine die de toute immergence comme du dernier râle que l'on en pu connaître, excavés que nous sommes ou encore promulgués du pensif vaisseau bordurant ses entrailles cependant qu'aucune soute ni aucun départ ne s'enhardirait à caboter aux parages.
Car comme le dira l'inépuisable parolier qui narrera cette estafilade extrapolée des écritoires Rien jamais n'étrave la partance embolie des éperons nacrés quand ils se sustentent d'acédie Rien n'emporte leurs épousailles dépoitraillées vers les champs enfiévrés de mandragore bleue Hormis peut être la melusine ,chanson énamourée des cascades de l'hors-nuit et des bleutés insues qui astragale les cœurs les plus recrus de son efflorescence fauve ravinée d'organdi.
Ethan Mendesbaum
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