Tu t’écoules sur mes bras
Tu suintes sur mon dos,
T’accostes à mon âme
Une ombre d’un fardeau.
Que tu sois la nuit
Des lueurs d’étoiles,
J’apporte à ta courbure
La toile de mes voiles.
Glisser dans ton amour
D’innocentes intrigues,
Je laisse les vagues giflées
Ton sourire laconique.
Tu diffuses l’impur
Je respire tes mots,
Je regrette de t’avoir pris
A la barre de mon bateau.