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Quelle aventure ! J’ai aperçus deux avions Passant entre soleil et lune, Assis devant mon pavillon J’étais conscient de ma lacune.
Car Einstein, lui, nous avait dit Le relatif est une image Que certains pourtant ont maudit Sans être roi, sans être mage.
Entre six heures et midi, Sons passés deux aéroplanes, En direction du paradis, Ce ciel pourtant est sans arcanes.
Les deux astres les contemplaient Dérangeant fort leur quiétude, Rayant le ciel avec des plaies Dont nous avons pris l’habitude.
Chère lectrice et cher lecteur Ce quatrain étant le cinquième, Je vous le dis en tant qu’auteur Je m’égare encor sur le thème.
Mais le sujet est relatif Comme Einstein veut nous le soumettre A tout votre imaginatif Afin que vous puissiez l’admettre.
Présence de lune et soleil, En même temps dans ma pupille, Y rajoutant deux appareils, Je soigne ainsi mon estampille.
Ce poème n’est pas léger, Je recommande après lecture De réfléchir sans ménager Votre cerveau en miniature.
Capricorne, le 19/04/2017
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