" Virgule neuf " !

A un étage d'un immeuble
Je vois l'horizon à perte de vue
Le septiéme étage au septiéme ciel
Sans besoin de voir si loin .

C'est pourquoi , je cite : virgule neuf
Oû zéro un , est un dix redit
A y croire , mon latin X , se file
Au loin comme une femme décousue .

C'est a s' y prendre et croire...
Que le monde est haut de cet étage
Seulement pas ésseulé de ce calcul précaire
Je redessend au niveau du sol , à terre .

Avec une clef de sol de la musique
Soudain , s' entends comme un chant d'oiseaux
Qui s'envolent en ricannant- se moquant
De cette triste - belle réalité du bonheur .

Apeuré par ces cris de desespoirs
Je retrouve le septiéme étage au septiéme ciel
Là , ou en haut tout est bas- trôp bas
Dans mon entendement oû raisonne la vie .

Mes envies- la vie- mes amis (es)
Je déclare sans un bruit- au font des buis
Quant les oiseaux partis me donnent à écrire
Alors , j'aime cette nature fuyante et moi je réfléchis .

Un stylo à la main , et avec une minutie
Encore une heure- une minute- rien qu'une seconde
Je respire cet air frais au " carré " doux
Du balcon oû je me suis avancé pour aimer .

Un jour, je me reposerai , l'air ahuri
Sans rire- sans riz mais avec le sourire
De celui qui est heureux dans les beaux jours
Cette nuit , je dormirai aux étoiles baillant .

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