Passent les minutes, passent les heures
Mais pas encore le train du sommeil
Car on reste parfaitement en èveil
Pendant que la nuit lentement s'affaire
Chaque soixante quinze minutes
Morphèe peut nous amener
Dans son royaume révè
Alors ce moment on guette
Mais comme l'inspiration au poète manque
A celui qui veut dormir le sommeil manque
Pas moyen d'un peu poètiser
Pas l'ombre d'une sieste
Passent les minutes passent les instants
La nuit touche à sa fin tranquilement
Du jour commencent les premieres temps
L'insomnie a bien étendu son ciment
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:Le crocodile amorphe aux levres de corail descend sans se presser la rue de montmirail
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