Jalousie.
L’effroyable obsession ne cesse de grandir.
Elle s’empare de toi, dérange ton esprit,
Te conduis lentement à ton propre mépris.
Implacable douleur qui te ronge à mourir.
Elle attise le feu de ce triste bûcher.
Tel une horrible plaie, nourrissant en son sein
Cette sournoise alliée aux funestes desseins,
Malmené, tuméfié, ton cœur est écorché.
Bénissons ces instants où nous nous retrouvons,
Enfin seuls, toi et moi, alliant à la passion
La tendresse et l’amour, pour vaincre ce démon.
C’est le moment choisi par cette symphonie
Pour bercer notre union en totale harmonie,
Et masquer, pour un temps, ta folle jalousie.
Constantin
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Le corps de la femme est comme l'océan, même par temps calme il demeure troublant