Vers l'abîme,
La mémoire du cœur
Celle qu'on arbore avec rancœur
Sans aucune sorte de joie, qu'avec des pleurs.
Surement trop aimé
J'ai encore trop souvent pleuré
Je désire ne plus être autant fatigué.
J'ai soif d'une zombie
Je ne veux plus lutter cette vie
Je n'aimerai jamais la mémoire
Il ne me faudra jamais plus aucun espoir.
Mercredi 20 février 1991
Basile Béranger Chaleil
----------------
Basile Béranger Chaleil