Monologue à deux




« C’est prendre l’homme sans la dimension du désir »
Lui dit-elle
Comme pour retarder la tombée de la nuit
« Le mot désir s’abîme comme tous les mots s’effondrent,
Aucun ne résiste »
Entend-elle répondre de sa voix à lui ?
La phrase elle-même s’abîme dans l’inachevé
« Le dernier soleil rougit sur ta chair » dit-il pour casser le fil du silence

Le soleil a le dernier mot face a la reflexion humaine, bel ecrit original .

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Monologue entre une femme et un homme
Sans le sentiment de désir
Les mots ne peuvent trahir
Et finissent fantôme!
Amitiés poétiques
Marc

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Segolin183 mi-ange mi-démon

ce monologue a fait rougir le soleil
et comme il s'en émerveille
il s'imprime sur sa peau
pour qu'on le trouve beau

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Geneviève