Il est tout noir, le coeur de l'aimée
Se voulant blonde, au miroir qui saignait
Dans le lent silence, des ailés tourments
Qu'il avait hérités, du passé contraignant.

La noirceur faisait abîme, au coeur de l'espoir,
craignant la vaste blancheur du jour
Pourchassant la nuit en son couloir
Sans qu'elle se découvre, où il faisait ses tours.

Nous ne sommes que des pions légués
De la misère du monde d'autrefois,
Nous scandons ça et là vive la paix
Et nous nous inclinons devant les faux rois.

Qui serons-nous pour séduire le silence ?
Qui devient bavard, dans les oreilles des morts
Que vous cherchez dans tous les sens
Perdus toutefois, dans tous vos décors.

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Il est redoutable, celui qui ne l'était pas et il sait...